lundi 6 février 2017

UN NOUVEL ARRIVANT

Après la perte de notre "Toutoune", Utsie pour l'état civil, nous voilà en plein questionnement sur son remplacement.

Plein d'arguments fusent pour NE PAS reprendre un animal, qui diminue notre liberté de mouvement, mais il faut bien se rendre à l'évidence, le cœur parle et tous les soirs nous passons les petites annonces pour voir, comme ça, sans arrière pensée, tu parles !

Nous nous fixons sur quelques annonces et en particulier sur une annonce non loin de chez nous, qui nous fait de l’œil !!

On ne sait pas pourquoi mais nous sommes attirés par les Malinois et donc un beau matin voilà 't'y pas que je téléphone à cette annonce près de chez nous, ça n'engage à rien, tu parles ! et je vais même voir les chiots !!!

Oh l'erreur, c'était fini, on y revient avec Corinne le Week-end suivant et l'affaire est faite, nous aurons un chiot ou plutôt une "chiotte" de 2 mois vers le début février.

Elle, c'est une fille, elle s'appelle "MINX" qui veut dire "friponne" en anglais, un nom prédestiné mais elle est tellement craquante !!

L'occasion également de faire fumer le Nikon pour fixer tous ces moments sympas sur la "pellicule" !

En quelques photos voilà le "fauve" :


Là je cours comme une dératée, j'en ai les oreilles couchées sur la tête ou la langue qui sort toute seule !!


 



Là je me repose un peu, j'ai les pattes trop courtes encore et des tous petits poumons!!!
Et là je prends la pose comme les grands qui font des concours !

Alors là je fais connaissance avec "Sativa", elle est pas commode 
et je parle même pas de "Gibbs" le chat qui peut pas me voir en peinture !!

vendredi 2 janvier 2015

RETOUR DE L'ENFER !

J'ai rédigé ce billet pendant ma maladie et j'ai mis 6 mois à le publier car je n'étais pas prêt. Aujourd'hui, le temps a passé et j'ai repris une vie normale. Il me reste toutefois quelques séquelles neurologiques de cet épisode douloureux : Réflexe rotulien côté gauche non récupéré, sensations "spéciales" genou gauche appelées savamment dysesthésies (contractions incontrôlées du quadriceps ou sensibilité différente).

"Pour une personne très active, le pire est de ne plus pouvoir s'adonner à ses activités habituelles, travail, jardin, bricolage d'entretien et de tout à coup dépendre entièrement des autres pour tout !

Le pire du pire c'est d'avoir une passion et de croire, sur l'instant, qu'elle disparaît à jamais !

 C'est ce qui vient de m'arriver sous la forme d'une douleur aiguë au niveau du dos, de l'aine, du quadriceps, du genou, la cuisse, tout ça du côté gauche. Le nom de cette saloperie qui vous rend tout à coup d'une humilité incroyable et qui vous fauche en une demi-journée : Une cruralgie hyperalgique svp..

 Cela fait quoi ? trèèèèèèèèèèèèèèèèès mal au point qu'on part aux urgences en pleine nuit pour revenir avec un traitement de cheval qui ne vous calme même pas et pourtant cocktail copieux à base de cortisone, morphine et valium ! rien que ça !

 C'est arrivé d'un coup ? non bien sûr mais tout le monde a mal au dos, un peu, par ci par là, en haut en bas, à droite à gauche, mais là une petite douleur persistante à gauche depuis 4 à 6 mois sans que cela ne m'empêche de rien faire mais toujours présente à l'effort !

Dans l'intervalle 1 Brive Rocamadour, 1 Roc Trespouzien, des sorties de reconnaissance pour la Saint Michéloise (8), des sorties en Single Speed pour soigner la condition et j'en passe, notamment les jours de pluie, le rameur et le vélo d’appartement plus quelques footings.

 Partons de la journée des bénévoles de mon club Cours VTT, un samedi, la sortie s'annonce assez tranquille, en effet, j'ai planifié un parcours assez léger car les jeunes pousses du club participent, je décide donc de prendre le Single Speed pour quand même travailler un peu et je me régale un maximum. Le repas entre potes se passe au mieux, l'après-midi je pars faire un pré-balisage d'une partie du circuit de la future Saint Michéloise à pied avec 2 copains du club, tout se passe à merveille, soirée avec quelques douleurs mais journée chargée physiquement donc pas d'attention particulière de ma part, nuit parfaite puis lever et retour sur Toulouse pour le Dimanche après-midi.
 Dans la semaine qui suit, je travaille normalement non sans avoir quelques signes douloureux qui me demandent de ne pas rester assis trop longtemps donc dans la semaine, le jeudi soir, je vais voir mon généraliste avec les résultats de la radio et du scanner qu'il m'avait prescrits la semaine précédente et là rien d'anormal ! OUF ! donc comme j'ai encore mal il me prescrit un shoot de Cortisone + Dafalgan pour essayer de déraciner le mal et c'est reparti sans arrière pensée mais toujours avec une petite douleur latente côté gauche dans le dos.

 Et là, le samedi, c'est le drame en passant le tracteur pour tondre !! Une douleur intolérable est en train de s'installer, engendrée certainement par les vibrations du tracteur et les dévers du terrain mais bien sûr je veux terminer donc j'insiste bien et je finis en fait je ME finis !!!
 Le soir c'est plus que le drame, je ne tiens plus sur mes jambes, je marche à quatre pattes, je suis une loque, je me couche malgré tout en espérant que la seule position acceptable que j'ai trouvée dans le lit me permettra de dormir et diminuera ma douleur, mais rien n'y fait et Corinne, énergiquement, un samedi soir, fait le 15 sur le téléphone, le médecin de garde nous propose de partir aux urgences à Muret (au plus près) certainement moins chargées que celles de Rangueil. Diagnostic Cruralgie gauche et cocktail de cheval pour retour maison, tout ça en 1 heure chrono.

 Je vois bien que je ne pourrais pas repartir au boulot avant belle lurette et le lundi je ne peux toujours pas marcher, je souffre le martyr malgré le traitement de cheval et je téléphone à mon généraliste pour qu'il passe me voir et constater dans quel état j'erre, et il est passé, si ! si ! ça existe encore des généralistes qui se déplacent. Et là le mardi je ne peux toujours pas vivre tellement je souffre je le rappelle et nous convenons qu'il faut investiguer davantage et en urgence et donc il faut passer une IRM mais là se pose le problème des délais !! Donc il me propose de partir aux urgences de la Clinique des Cèdres de Cornebarrieu avec une belle lettre d'introduction qu'il me fait sur le champ. Le mardi soir je suis aux Cédres, j'y "dors" et le lendemain l'IRM est planifiée.
 L'IRM ? : un enfer, un calvaire, il faut que je me tienne dans une position (allongé sur le dos, jambes allongées) où la douleur est maximum et cela pendant 10 minutes sans bouger !! Les dix minutes certainement les plus longues de toute ma vie !!

 Résultat : je le fait court : hernie discale foraminale et extra rachidienne L3-L4 avec appui radiculaire latéralisé.
.  

Ce sont les derniers mots de la description qui font mal : ça veut dire que mon nerf crural est comprimé et que c'est lui qui me fait ch..r oups ! très mal. Je vois le neurochirurgien qui m'explique tout bien et qui me met en main le marché suivant : soit vous prenez un traitement médicamenteux et ça peut se régler en 3 ou 4 semaines, soit je vous opère samedi prochain - statistiques : traitement médicamenteux 90% de chances de succès; Opération 90% de chances de réussite. Voilà c'est à vous de choisir, vous savez tout !
Je tourne tout ça dans ma tête avec Corinne et nous prenons la décision du traitement médicamenteux car l'intervention est à faire en dernier recours; nous partons donc avec l'ordonnance correspondante : Biprophénid + Dafalgan + Morphine.


 Juste un petit détail : nos congés programmés et payés en avance pour 2 semaines (dernière de juin et première de juillet) en Corse arrivent dans moins de 3 semaines!!!!!

Retour à la maison avec les médicaments, tant que j'ai de la morphine + Dafalgan + Biprofénid je m'en sors à peu près mais dès que j'ai fini la morphine je souffre encore le martyr et le temps passe, la Corse arrive et moi je stagne, je ne m'en sors pas. Je repars chez le médecin pour évaluer avec lui les chances de ne pas gâcher les vacances que l'on attends toute l'année, il me prescrit du Tramadol et une ceinture de maintien lombaire, je pars regonflé à bloc mais ça n'est toujours pas suffisant et j'y retourne 2 jours après, et là, je craque car l'espoir de vacances s'anéantit définitivement, je ne suis pas en état de faire 6 heures de voiture jusqu'à Toulon même avec une ceinture et de supporter l'éventuel roulis d'un bateau puis de refaire encore derrière 2 ou 3 heures voiture pour atteindre notre lieu de vacances.

La décision est prise d'annuler le départ en Corse, Corinne annule ses vacances, je me sens terriblement coupable mais je suis convaincu que nous avons pris la bonne décision et notre médecin généraliste nous a été d'une grande aide dans cette période particulièrement difficile.

Le Tramadol est une révélation tant il me soulage bien, certes il a des effets secondaires pas très agréables, mais au bout de quelque temps, j'éprouve le besoin de voir où j'en suis, j'arrête cet anti-douleur avec l'accord de mon toubib tout en continuant le Biprofénid. Mais encore une fois la douleur revient au galop, je ne peux plus dormir et je repars chez le généraliste. Il me prescrit encore une fois du Tramadol mais moins dosé, du Biprofénid, du Dafalgan et de la kiné et me dit textuellement d'essayer d'adapter mon traitement à mon ressenti de douleur en arrêtant le Biprofénid quelques temps car cela fait plus d'un mois que j'en prends. Normalement c'est pas plus de 10/12 jours d'affilée.

Je suis donc au Tramadol et tout se passe bien, je ne souffre plus trop, je recommence à vivre mieux, je passe des journées assez sereines, je vais chez le kiné 2 fois par semaine et donc comme la dernière fois, pour voir où j'en suis j'arrête le Tramadol et là, je ne souffre plus beaucoup des douleurs de ma cruralgie, et ça c'est super, par contre j'ai des "impatiences dans les jambes" au moment d'aller au lit et je ne peux pas dormir !!!!

Je me documente, la notice du Tramadol d'abord, et là, des effets secondaires de sevrage sont décrits, je fais un tour sur Internet et c'est confirmé, je suis victime d'un syndrome de manque qui se manifeste par ces "impatiences", insomnies, etc...

Je m'auto-médique en prenant le soir avant de me coucher un Valium 5 et là je dors comme un bébé, je fais ça trois soirs de suite puis le quatrième c'est terminé je peux dormir normalement sans aucun produit, je suis désintoxiqué.

Je ne suis plus sous traitement et les douleurs restantes sont gérables.

Je discute avec le kiné et je lui demande si je peux pousser ou plutôt me faire tirer par ma tondeuse auto-tractée ? réponse oui avec ceinture dans un premier temps; première victoire : je peux de nouveau me rendre utile !

Puis question suivante : puis-je faire un peu vélo d'appartement ? oui mais sans résistance au début ! Voilà mes instruments de torture (vélo de spinning puis vélo de route) avant de repasser au VTT.

deuxième victoire : je pourrais peut-être remonter sur un VTT un jour !

troisième question : puis-je commencer à me renforcer au niveau de la sangle abdominale ? oui mais faire des exercices de gainage statique ! Super ! Je suis sur la bonne voie ! Et tout revient : le moral, les bonnes sensations, bientôt le boulot, etc...

Mercredi prochain je vais annoncer la bonne nouvelle (pas pour lui) au neurochirurgien, 2 mois après l'avoir vu la première fois, et lui demander des conseils puis continuer à renforcer mon dos et mes abdominaux pour que cette saleté ne se reproduise plus.

Conclusion : Ecoutez-vous et allez voir le toubib une fois de trop plutôt qu'une fois de moins ! Sachez gérer vos sensations, n'allez pas trop loin gardez-en sous la semelle.

Je ne remercierai jamais assez Corinne, et les gens qui m'entourent, les potes du Club qui n'ont cessé de me téléphoner et de m'envoyer des mails chaque semaine pour me remonter le moral et les gens du boulot qui également ont pris très souvent de mes nouvelles.

Évitez autant que possible ce genre de désagréments (hernie discale provoquant des sciatiques et/ou des cruralgies) en faisant de la prévention : postures, renforcement musculaire et ne pensez pas que ça n'arrive qu'aux autres.

Voilà si quelqu'un lit ce petit témoignage et qu'il lui sert à quelque chose j'aurais atteint un double but : me débarrasser de souvenirs très pénibles en en parlant et faire profiter les autres de ma triste expérience."


A+

Patrick

mercredi 23 avril 2014

SINGLE SPEED EN MONTAGNE NOIRE

Après un Brive Rocamadour mi mars et un Roc Trespouzien très caillouteux, je me suis résolu à sortir une nouvelle fois en Single Speed sur un terrain sans cailloux, bien roulant et avec une excellente adhérence. La Montagne Noire était toute indiquée et mon circuit d'entrainement "habituel" déjà dans le GPS. La journée du Weekend de Pâques la moins pourrie étant le Samedi, me voilà parti pour un roulage aux Cammazes vers 8h30 du matin. Température fraîche, manchettes et 2 maillots du début à la fin du roulage. Une biche au tableau de chasse et au final 53 Km et 1200 m de D+ et une petite video sympa de plus :


Montagne Noire on Relive

mardi 31 décembre 2013

SINGLE SPEED DE FIN D'ANNEE

Après avoir sorti mon nouveau jouet la semaine dernière à Cours, pour la reco N°5, et l'avoir bien sali, je me suis décidé à repasser mon Voodoo Djab Titane en Single Speed pour diminuer grandement la corvée de nettoyage d'hiver. J'ai gardé 2 éléments de confort/sécurité dont le ne peux plus me passer : les freins à disque et la tige de selle télescopique.

Me voilà parti dans la Montagne noire à 1 heure de voiture pour me réhabituer à ce sport qui permet de se faire les cuissots tout en travaillant la vélocité. Pistes assez roulantes et singles ont agrémenté les quelques 40 Km et 800 m de D+ de cette sortie bien sympa avec vue sur les Pyrénées enneigées au décours d'un sentier ou côtoiement de ruisseaux et cascades tumultueux.

BONNE ANNÉE A TOUS LES LECTEURS DE CE BLOG SANS PRÉTENTION.

Pistes et matelas de feuilles
Vue sur les Pyrénées de 900 m d'altitude
Petits ruisseaux et cascades

lundi 23 décembre 2013

LE PERE NOEL EST PASSE EN AVANCE

Commande du SCOTT 710 prévue en réception le 15 Décembre et reçue dans les premiers jours de Décembre. Si, Si c'est possible !

Premier Dimanche après réception je le garde au chaud pour pas le salir, le regarder, le photographier, l'étudier, etc...

Deuxième dimanche il est prévu une reco de la St Michéloise 2014 : je ne peux plus tenir je le sors même s'il faudra le salir, le laver, etc...

Inquiétude quand même sur la position car je perds 4 cm entre bec de selle et cintre !!! C'est vrai que le Yéti taille grand sur les tubes horizontaux : perte de 1,5 cm !! Potence de 6 cm au lieu de 7 cm perte de 1 cm !! Bref je ne vois pas où sont passés tous ces cm mais je vais essayer tel quel ! Ayant assez souvent mal au dos, je me dis qu'une position un peu plus droite ne peut pas nuire.

Hé bien, c'est le cas, je n'ai pas fait beaucoup de Km car la reco nous a réservé des surprises avec du portage, des coins très bouchés mais ça le fait, je me sens bien dessus, j'ai tendance à lâcher les freins assez facilement en descente et en côte je ne pense pas que j'aurais fait mieux avec le Yéti qui aurait levé le nez plus que le Scott dans certains passages !

Extrait du post écrit dans VV au sortir de la première rando :
Première sortie avec le 710 et vraiment bien dès la montée sur le vélo. Cintre plus large que mes précédents vélos donc attention aux passages étroits, la manette twinloc c'est vraiment 3 vélos en 1 et dès que je l'aurais bien assimilée ce sera un vrai plus. Que dire de la précision de conduite avec les axes surdimensionnés, là aussi très bien, la fox et les petits chocs je suis impressionné par la capacité d'absorption en début de course, sur les gros chocs je n'ai pas utilisé tout le débattement mais le rodage est en cours donc pas de panique, la manette de la tige de selle RS et la douceur de remontée de selle sont un régal, pas de risque pour les bijoux de famille, concernant l'ensemble Shimano XT, je ne me souvenais plus de l'onctuosité et du silence shimano étant depuis longtemps avec du Sram ! Ce vélo roule très bien, il est très stable autant à la montée (pas de cabrage) qu'à la descente mais il faut que je me fasse aux étagements différents des développements engendrés par les roues de 27,5 et la cassette de 10 pignons avec le double plateau. Pour les roues, je me posais des questions et comme nous étions 2 à avoir un 710 dont un vélociste, celui-ci me disait que le poids des roues était à quelques grammes près celui des Mavic SLR, donc a priori pas mal de ce côté là aussi au moins côté poids !

Donc globalement après la première sortie, je suis très satisfait de mon achat et après quelques autres rides je pense que je vais bien m'entendre avec ce bout de plascott !!














samedi 16 novembre 2013

REMISE AU GOUT DU JOUR D'UN OUTIL DE PLAISIR

Voilà décision prise, je vais abandonner mon fidèle destrier le YETI ASR5 C en roues de 26 pouces pour un SCOTT GENIUS 710 en roues de 27,5 pouces ! Je ne reproche rien à mon Yéti avec lequel je me suis distillé des purs moments de plaisir à rouler. Mais la tendance, la mode, le marketing, etc.. , mais aussi l'"ancienneté" des pièces qui sont sur ce Yéti (elles ont déjà fait 3 vélos) m'ont convaincu de ne pas trop tarder à changer de monture pour tirer encore quelques deniers de ce vélo dont je n'ai, encore une fois, vraiment pas à me plaindre. Pourquoi le Scott et bien parce que j'en profite pour passer à de nouveaux standards (axes de roues, boitier de pédalier, etc..) que ce vélo est très bien équipé en tout shimano XT, une valeur sure avec d'excellents retours notamment sur le freinage, avec passage au double plateau et cassette de 10 vitesses, avec une tige de selle télescopique, dont je ne peux plus me passer, avec des blocages de suspensions pour pouvoir envoyer malgré tout sur du roulant, et enfin pour passer au standard de roues de 27,5 pouces qui selon les dieux de la presse, va devenir le nouveau standard, juré craché ! (comme l'a été le 29 il y a 1 ou 2 ans). Je reste sur le 27,5 pour des questions de gabarit car il me semble qu'autant le 29 peut aller à un grand gabarit il ne faut pas aller au delà du 27,5 pour un petit gabarit ! Je ne parle pas du débattement de 150 mm car 130 sur le Yéti me suffisaient, et ça n'a pas été une raison fondamentale de changement, et enfin s'il y a quelques éléments qui me plaisent moins ce sont tous ces câbles qui font assez usine à gaz sur le poste de pilotage mais je me soignerais en passant au single speed quand j'en aurai trop marre ! et les roues dont la qualité et le poids sont à évaluer et selon le ressenti il faudra peut-être envisager de les changer dans un deuxième temps ! Donc en attente du père Noël ! Si! Si! à mon âge on y croit encore !! et on joue comme un gamin dans les chemins aussi ! pourvu que ça dure !

ET VOILA LA BÊTE !